Joe Dassin
Joe Dassin - Le Portugais Engelse vertaling songtekst
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The Portuguese Man
With his jackhammer, he drills the furrows Of tomorrow's road He puts his heart into it, the sun and the frost Are written all over his hands The Portuguese man, under his red oilskin, Looks like a scarecrow Have you seen the odd ploughman Of the concrete meadows And the rockery fields? You have to go on many journeys You have to go a long way It is not in your own village That you can earn your living anymore Far away from his home, far away from his town, 500 miles to the north, At night, in a shantytown, The Portuguese man falls asleep He came into the Austerlitz railroad station, It has already been two years since He has but one thing in mind, earning a lot of money And going back there The Portuguese man, under his red oilskin, Looks like a scarecrow He does not hear you, He is on the road Leading back to Portugal You have to go on many journeys You have to go a long way It is not in your own village That you can earn your living anymore Far away from his home, far away from his town, 500 miles to the north, At night, in a shantytown, The Portuguese man falls asleep La la la la la...
Le Portugais
Avec son marteau piqueur Il creuse le sillon de la route de demain. Il y met du coeur, Le soleil et le gel sont écrits sur ses mains, Le Portugais dans son ciré tout rouge Qui ressemble à un épouvantail... As-tu vu l'étrange laboureur Des prairies de béton et des champs de rocailles? Il faut en faire des voyages, Il faut en faire du chemin. Ce n'est plus dans son village Qu'on peut gagner son pain... Loin de son toit, de sa ville, À cinq cent milles vers le Nord, Le soir dans un bidonville Le Portugais s'endort. Il est arrivé a la gare d'Austerlitz voilà deux ans déjà... Il n'a qu'une idée, gagner beaucoup d'argent et retourner là-bas. Le Portugais dans son ciré tout rouge Qui ressemble à un épouvantail - Il ne t'entend pas, Il est sur le chemin qui mène au Portugal. Il faut en faire des voyages, Il faut en faire du chemin. Ce n'est plus dans son village Qu'on peut gagner son pain... Loin de son toit, de sa ville, À cinq cent milles vers le Nord, Le soir dans un bidonville Le Portugais s'endort.