Charles Trenet
Charles Trenet - Ne cherchez pas dans les pianos Spaanse vertaling songtekst
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No busque en los pianos
No busque en los pianos lo que no hay Sea feliz por tener el eco de los tiempos de papá Baile español De los años locos O bien sardana que se bailaba con pequeños pasos Después de la comida. No busque en los pasillos de mis castillos Lo que puede haber en el interior de mis pianos. No encontrará a menudo Más que la canción del viento, Del viento de otoño, mi único amigo a partir de ahora. No busque en los armarios que le asustan La silueta negra de un viejo fantasma de ojos sonrientes. La sombra voluble Solo es una nube Que ondula suavemente Por los techos de los trenes de vapor. No busque en el canal de la Robine El farol luminoso de una barcaza que se aleja. No busque, en el puente de Arcole, Los muros de la vieja escuela. Se ha convertido en garaje, desguace Para autobuses. No busque en las orillas de sal amarga Los primeros pasos que dio frente al mar Contra la draga Chapotean las olas Pero ya nunca le asustan, Cuando se pasea cerca del faro Y ahora vuelva al presente para una estancia En la región parisina donde tiene una isla de amor Ya que en ese lugar se le quiere, No busque más, ¡No busque en los pianos lo que no hay! No busque en los pianos lo que no hay
Ne cherchez pas dans les pianos
NE CHERCHEZ PAS DANS LES PIANOS Paroles et musique: Charles Trenet, 1971 Ne cherchez pas dans les pianos ce qu'il n'y a pas. Soyez heureux d'avoir l'écho du temps de papa, Valse espagnole Des années folles Ou bien Sardane que l'on dansait à petit pas Après le repas. Ne cherchez pas dans les couloirs de mes châteaux Ce qu'il peut y avoir à l'intérieur de mes pianos. Vous n'y trouveriez le plus souvent Que la chanson du vent, Du vent d'automne, mon seul ami, dorénavant. Ne cherchez pas dans les armoires qui vous font peur Le profil noir d'un vieux fantôme aux yeux rieurs. L'ombre volage N'est plus que nuage Qui se tortille avec douceur Sur les toits des trains à vapeur. Ne cherchez pas sur le canal de la Robine Le clair fanal d'une péniche qui se débine. Ne cherchez pas, au pont d'Arcole, Les murs de la vieille école. Elle est devenue garage, rebut Pour autobus. Ne cherchez pas sur les rivages de sel amer Les premiers pas que vous faisiez devant la mer Contre la drague Clapotant les vagues Mais plus jamais ne vous effarent, Quand vous vous promenez près du phare Et puis revenez dans le présent pour un séjour En Île-de-France où vous avez une île d'amour Puisqu'on vous aime en ce coin-là, Alors ne cherchez pas, Ne cherchez pas dans les pianos ce qu'il n'y a pas! Ne cherchez pas dans les pianos ce qu'il n'y a pas.