Céline Dion
Céline Dion - Femme Comme Chacune Engelse vertaling songtekst
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A Woman Like Any Other
I would like to seize in my hands All the perfumes that mingle, All the echoes that repond And that will no longer exist tomorrow I would like to press to my mouth The intoxicating humidity of the night At which I smile without seeing it The breeze that passes and touches me To hold in my arms, the night Lazy and voluptuous, The night conspiring and whispering That pursues and seduces me With its eyes of moonlight, Where I see dreams passing And human desire crowding ... The night, a woman like any other. To know where the wind goes to bed And set out to go and surprise it In some valley of tender grasses Where the mosses make a couch. Ah! To see the color of silence If it is as deep as it is large; To see the subdued tones it takes With its many nuances. To hold in my arms, the night Lazy and voluptuous, The night, conspiring and whispering That pursues and seduces me With its eyes of moonlight, Where I see dreams passing And human desire crowding ... The night, a woman like any other The night, a woman like any other
Femme Comme Chacune
Je voudrais saisir dans me mains tous ces parfums qui se confondent, tous ces échos qui se répondent et qui ne seront plus demain. Je voudrais presser sur ma bouche l'enivrante moiteur du soir à qui je souris sans la voir, la brise qui passe et me touche. Retenir dans mes bras, la nuit indolente et voluptueuse, la nuit complice et chuchoteuse qui me poursuit et me séduit avec ses yeux de clair de lune, où je vois le rêve passer et l'humain désir se presser… la nuit, femme comme chacune. Femme comme chacune. Savoir où se couche le vent et partir pour aller surprendre dans quelque vallon d'herbe tendre où les mousses font un divan. Ah ! Voir la couleur du silence s'il est plus profond qu'il n'est grand ; voir les tons apaisés qu'il prend avec ses multiples nuances. Retenir dans me bras, la nuit indolente et voluptueuse, la nuit complice et chuchoteuse qui me poursuit et me séduit avec ses yeux de clair de lune, où je vois le rêve passer et l'humain désir se presser… la nuit, femme comme chacune. Femme comme chacune. La nuit, femme comme chacune.