Michel Sardou
Michel Sardou - Le temps des colonies Duitse vertaling songtekst
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Kolonialzeit
Ich. mein Herr, habe kolonisiert Dakar, Conakry, Bamako. Ich, mein Herr, ich hatte ein gutes Leben, in der segensreichen Kolonialzeit. Die Krieger nannten mich großer Häuptling in den glorreichen Zeiten des A. O. F. Ich hatte Schnüre an der Kappe, in der gesegneten Kolonialzeit. Refrain: Oh Bwana. wir denken noch immer an Dich, sag uns was Dir fehlt, hier findest Du es. Es gibt in Frankreich keinen Kaffee, keine Baumwolle, kein Benzin, aber Ideen, man hat ja uns, so glaubt man, oh Bwana. wir denken noch immer an Dich, sag uns was Die fehlt, hier findest Du es. Für mich, mein Herr, gleicht nichts der senegalesischen Infanterie, die alle für ihr Vaterland starben, in der segensreichen Kolonialzeit. Damals in Colomb-Bechar, hatte ich viele schwarze Diener und vier Mädchen in meinem Bett in der segensreichen Kolonialzeit.. Oh Bwana. wir denken noch immer an Dich, sag uns was Dir fehlt, hier findest Du es. Es gibt in Frankreich keinen Kaffee, keine Baumwolle, kein Benzin, aber Ideen, man hat ja uns, so glaubt man, oh Bwana. wir denken noch immer an Dich, sag uns was Die fehlt, hier findest Du es. Ich, mein Herr, habe Leoparden getötet, in Timbuktu am Niger, und Nilpferde am Ubangi in der segensreichen Kolonialzeit. Zwischen Gin und Tennis, Empfängen und Pastis fühlte man sich im Paradies in der segensreichen Kolonialzeit.. Oh Bwana. wir denken noch immer an Dich, sag uns was Dir fehlt, hier findest Du es. Es gibt in Frankreich keinen Kaffee, keine Baumwolle, kein Benzin, aber Ideen, man hat ja uns, so glaubt man, oh Bwana. wir denken noch immer an Dich, sag uns was Die fehlt, hier findest Du es.
Le temps des colonies
Moi monsieur j'ai fait la colo, Dakar, Conakry, Bamako. Moi monsieur, j'ai eu la belle vie, Au temps béni des colonies. Les guerriers m'appelaient Grand Chef Au temps glorieux de l'A.O.F. J'avais des ficelles au képi, Au temps béni des colonies. (Refrain:) On pense encore à toi, oh Bwana. Dis-nous ce que t'as pas, on en a. Y a pas d'café, pas de coton, pas d'essence En France, mais des idées, ça on en a, nous, on pense On pense encore à toi, oh Bwana. Dis-nous ce que t'as pas, on en a. Pour moi monsieur, rien n'égalait Les tirailleurs Sénégalais Qui mouraient tous pour la patrie, Au temps béni des colonies. Autrefois à Colomb-Béchar, J'avais plein de serviteurs noirs Et quatre filles dans mon lit, Au temps béni des colonies. On pense encore à toi, oh Bwana. Dis-nous ce que t'as pas, on en a. Y a pas d'café, pas de coton, pas d'essence En France, mais des idées, ça on en a, nous, on pense On pense encore à toi, oh Bwana. Dis-nous ce que t'as pas, on en a. Moi monsieur j'ai tué des panthères, A Tombouctou sur le Niger, Et des Hypos dans l'Oubangui, Au temps béni des colonies. Entre le gin et le tennis, Les réceptions et le pastis, On se s'rait cru au paradis, Au temps béni des colonies. On pense encore à toi, oh Bwana. Dis-nous ce que t'as pas, on en a. Y a pas d'café, pas de coton, pas d'essence En France, mais des idées, ça on en a, nous, on pense On pense encore à toi, oh Bwana. Dis-nous ce que t'as pas, on en a.