Emmylou Harris
Emmylou Harris - The Boxer French translation lyrics
Your rating:
Le boxeur
Je suis qu'un pauvre mec je raconte rarement mon histoire. J'ai gaspillé mon existance Contre de vaines paroles murmurées. Cependant un homme entend ce qu'il veut entendre, Et ne tient aucun compte du reste. Quand j'ai quitté ma maison et ma famille Je n'étais rien de plus qu'un jeune garçon En compagnie d'étrangers Dans le calme de la gare Courant effrayé, me faisant discret Recherchant les quartiers les plus pauvres Où vont les gens déguenillés Cherchant des endroits qu'eux seuls pouvaient connaître Lie la lie [etc] Seulement à la recherche d'un salaire d'ouvrier Je part chercher un job Mais je ne reçois jamais d' offre Seulement un viens chéri des putes de la Septième Avenue Je déclare solennellement Qu'il y a eu des fois où j'étais si solitaire Que j'ai trouvé du réconfort auprès d'elles Puis je prépare mes vêtements d'hiver Souhaitant partir chez moi Lorsque les hivers de la cité de New York me saigne me saigne et pousse à rentrer à la maison da da da [etc] En compensation il est un boxeur de métier qui porte sur lui, les vestiges De tous les gants( de boxe) qui l'ont envoyé à terre Et qui meurtrissaient sa chair jusqu'à ce qu'il crie, Sous le coup de la colère et de la honte J'abandonne, j'abandonne Mais le combattant reste toujours là li li li [etc.]
The Boxer
I am just a poor boy though my story's seldom told I have squandered my existence On a pocket full of mumbles such are promises All lies in jest, 'til a man hears what he wants to hear And disregards the rest Well I left my home and family, I was no more than a boy In the company of strangers In the quiet of the railway station running scared Laying low seeking out the poor quarters Where the ragged people go, looking for the places Only they would know Only seeking workman's wages I come looking for a job But I get no offers Just a come-on from the whores on Seventh Avenue I do declare there were times when I was so lonesome I took some comfort there In a-laying out my winter clothes and wishing I was home Going home Where the New York City winters aren't a-bleeding me Bleeding me Going home In the clearing stands a boxer and a fighter by his trade And he carries the reminders Of every bloke that laid him down or cleft him 'Til he cried out in his anger and his shame I am leaving, I am leaving But the fighter still remains