Dalida
Dalida - Et tous ces regards English translation lyrics
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And All These Looks
The sky is low above the roofs It rains on the city as it cries in my heart Are you happy Nina, Paula, Georgia? Write me from time to time When I look ahead of me I see the white wall, the white wall, the white wall And all these looks that follow me And all these looks that haunt me I have neither won nor lost I’ve seen countries, thunderstorms, dogs, tears on your face I have neither won, nor lost I sing That voice, that voice coming out of my body does not recall anything I hear it as I fall asleep Mom, when you left, when I left Who was the first to kill the other? One has to become blind in order not to see the time past In order not to see time hurt, hurt, my dead heart that bleeds What blood And all these looks that follow me And all these looks that haunt me The first cry, the second cry, the third cry and silence Bid youth farewell, bid love farewell Pass the race and break the roots Tonight, yes, I ask life to start again Life to choose, life To live straight and proud and foolish I ask for a look to follow me I have neither won, nor lost I look at the sea I caress a dog that is beautiful I caress a man who is beautiful I caress a world that is beautiful I caress my skin My house is mine, my money is mine My dog is mine, my mother is mine And me, well, I too am mine Come the day, sound the hour, I'm no longer afraid And all these looks that follow me And all these looks that haunt me If one day happiness knocks on my door I would show it my picture book I would clap my hands To shoo the birds and the cats If happiness were wise I would be nude I would have neither won, nor lost I would have simply had one more look I should now tidy things up To leave without slamming the door A photo, a key And the swing That goes and comes, and comes and goes, and goes and comes And goes…
Et tous ces regards
Le ciel est par dessus les toits Il pleut sur la ville comme il pleure dans mon coeur Es tu heureuse Nina, Paula, Gorgia? Écrivez-moi de temps en temps Quand je regarde devant moi Je vois le mur blanc le mur blanc, le mur... blanc Et tous ces regards qui me suivent Et tous ces regards qui me hantent Je n'ai ni gagné, ni perdu J'ai vu des pays, des orages, des chiens des larmes sur ton visage Je n'ai ni gagné, ni perdu Je chante Cette voix, cette voix qui sort de mon corps ne me rappelle rien Je l'entend qui s'éteint qui s'endort Maman, quand tu es parti, quand je suis parti Qui la première à tué l'autre Il faudra devenir aveugle pour ne pas voir le temps passé Pour ne pas voir le temps blésé, blésé mon coeur mort qui saigne De quel sang Et tous ces regards qui me suivent Et tous ces regards qui me hantent Le premier cri, le deuxième cri, le troisième cri et le silence Passe jeunesse adieux, passe l'amour adieux Passe la race et casse les racines Ce soir oui, je demande la vie pour recommencer La vie pour choisir, la vie Pour vivre droite et fière et folle Je demande un regard qui me suive Je n'ai ni gagné, ni perdu Je regarde la mer Je caresse un chien qui fait le beau Je caresse un homme qui fait le beau Je caresse un monde qui fait le beau Je caresse ma peau Ma maison est à moi, mon argent est moi Mon chien est à moi, ma mère est à moi Et moi et bien moi aussi je suis à moi Vienne le jour, sonne l'heure je n'ai plus peur Et tous ces regards qui me suivent Et tous ces regards qui me hantent Si un jour le bonheur frappe à ma porte Je lui montrerait mon livre d'image Je battrais des mains Pour chasser les oiseaux et les chats S'il est sage le bonheur je me mettrait nu Je n'aurai ni gagné, ni perdu Simplement j'aurai un regard de plus Il faudra maintenant mettre de l'ordre Pour partir sans claquer la porte Une photo, une clef Et la balançoire Qui va et viens et viens et va et va et viens Et va...