Agathodaimon

Agathodaimon - Near Dark French translation lyrics

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Proche De L'obscur

[ Partie Un]
C'est un monde béni par les victimes
De tragédie charnelle
Le rituel de gens d'amour et d'adoration
Histoire Dense-tissée
Les sentiments décident de l'existence, l'illustration que j'ai saigné
Bizarrement elle a défini sa présence
Avec le pleur des vivants
Quand ses yeux se sont baignés dans le danger
Et la lune avait la nouvelle conception
Dans le berceau de notre désir tout le sang a tourné en vin
Mais l'amour n'a pas duré n'est resté qu'une agitation à survivre
Dans ce labyrinthe de perfidie pour ma maîtresse pour se remettre
Je lutterai pour toujours...
[ Partie Deux]
Au mourant - l'espoir
Au prophète - la malédiction
L'amour - la poésie, à la mort entsprung... 
La nuit est limpide - les mots sont envoyés par des images
Les sons que je ne peux pas entendre - comme la faiblesse qui gagne mon corps
Vente de mon âme - et de son coeur saignant
En éclipsant le tout - planète, histoire et lumière...
[Partie Trois]
Parfois, quand le soleil se cache derrière la terre
Quand les âmes affamées, à qui la douleur a donné naissance
Embaumez leur froideur avec la chaleur du sang... alors
Je peux clairement entendre l'appel d'une étoile solitaire et lointaine
Dans l'ombre du répugnant
Encore dans la durée des nuits ? Dans la durée du moment
Quand le moment meurt
Là elle s'approche doucement
Avec la nouvelle signification de la vie...
Dans une brume de hasardeuse, dans le froid se fanant
La passion du sinistre, quand les coeurs s'arrêtent
Un flot de sentiments entrelacés
Un fracas à travers mon âme tombante
Je m'assoupis contre l'esprit de temps
Comme un étranger dans un monde inconnu !
Dans un parc, le long des allées, souillées avec du sang et des larmes
Dans l'heure, quand le crépuscule se disperse
Ses couleurs sur les statues blanches
Alors j'errerai comme un fantôme aux posthumes regrets
Et mes lèvres ardentes je gèlerais
Avec le baiser de ces statues sans égal
"Si-n asta noapte sfirsese printr-un sarut
Poeme - agonizate de-un infinit si-un inceput" 
[Partie Quatre]
"L'aube d'habitude de tout engloutir montre ses griffes de nouveau-
Vous rappelez-vous toujours notre serment ? ? Faisons nous partie de la lumière ! ? "
Viens en avant, Félin
Simple moment de mélancolie
Boisson profonde de mon désir
Le feu inextinguible
Cela unit notre braise sauvage...
Viens en avant, Félin
Torturé par notre duo final
Laisse ta glissade de doigts pâle sur les pétales des fleurs
Que tu souilles avec du sang de mortel, coagulé...
Sur les murs, minuit ferme même les yeux stoïques
Des portraits non dormants
Et l'oeil blanc d'une bougie solitaire s'endort
Dans sa propre solitude effrayante...
[Partie Cinq]
Désirs silencieux du coeur
Le baume qui chasse les déchêts humains
Oh viens, la duchesse infidèle
Les linceux de gel tombent furieusement en bas... de toi je reprend goût
Déchiffrement d'éternité de ses scénarios ruinés
Je bois agréablement à petits coups de la rivière ténébreuse
Sur les feuilles sans vie l'automne a banni
Surgit l'odyssée de mon aura languissante d'amour
"Un ornic cu rostiri funebre, suna amiaza-ndirjit
Iar ceru-mprastia tenebre, peste parcul amortit" 
Sous les yeux interrogés des étoiles et du ciel
Rêvant sur l'amour perdu je me suis remis
La mort monte soudainement
Ennuyé qu'il ne pouvait pas me sauver
Il devient pâle de jalousie
Les saisons disparaissent et cette histoire aussi
Comme la même main de poètes lève le stylo
Il a décrit ce spectacle avec...
Les acteurs s'effacent sur les allées mornes de ce parc ancien
Seulement deux ombres de nuit restent -
Célébrant le coucher de soleil d'âges tandis que leur rire maussade
Lascivement hante les graines mortelles de ruine...
Les nuits étaient limpides - les mots ont été envoyés par des images
Les couleurs ont desséché - ces pages, tandis que
L'heure la plus sombre a révélé - la main mystérieuse
Qui a docilement scellé
La fin mystérieuse de Cet épisode

Near Dark

Part One

This is a world blessed by the victims
Of carnal tragedy
the humans ritual of love and adoration
Dense-woven history

Sentiments decide existance, the artwork that I've bled
Bizarre she defined her presence
With the lament of the undead
When her eyes have bathed in danger
And the moon had new design
In the cradle of our desire all the blood has turned to wine
But the love no longer remained than just a stir to survive
In this labyrinth of perfidity for my mistress to recover
I'll forever strive...

Part Two

Dem Sterbenden - die Hoffnung
Dem Propheten - Der Fluch
Der Liebe - die Dichtung, die dem Sterben entsprung...

 The night is crystal clear - words are sent from pictures
 Sounds that I can't hear - as weakness wins my body
 Selling cheap my soul - and its bleeding heart
 Eclipsing the whole - planet, history and light...

Part Three

Sometimes, when the sun hides in the back of the earth
When the hungry souls, to whom pain gave birth
 Embalm their coldness with the blood's warmth... then
 I can clearly hear the calling of a lonely and distant star

In the shade of the abhorrent
Yet in the still of the nights - In the still of the moment
When the moment dies
There she gently approaches
With the new meaning of life...

In a haze of hazard, in the withering chill
Baleful's the passion, when hearts stand still

A flood of sentiments entwined
Rattle thru my falling soul
I slumber against the spirit of time
Like a stranger in a foreign world!

In a park, along the alleys, stained with blood and tears
In the hour, when dusk disperses
Its colors on the white statues

Then I'll wander as a phantom of the posthumous regrets
And my fiery lips I'll freeze
With the kiss of these unrivalled statues

"Si-n asta noapte sfirsese printr-un sarut
Poeme - agonizate de-un infinit si-un inceput"

Part Four

"The all-engulfing dawn of habitude shows his claws again-
Do you still remember our oath? - Til light do us part!?"

Come forth, Feline
Mere moment of melancholy
Drink deep of my desire
The quenchless fire
That unites our tameless embers...

come forth, Feline
Tortured by our final duet
Let thy pale fingers slide on the petals of the flowers
That thee stained with mortal, coagulated blood...

on the walls, midnight closes even the stoical eyes
Of the unsleeping portraits
And the white-eye of a lonely candle falls asleep
Into its own startling solitude...

Part Five

Silent heart desires
The balm that drives away the human waste
Oh come, infidel duchess
Shrouds of frost fall furiously down... of thee I taste again

Deciphering eternity of its ruined scripts
Of the tenebrious river I pleasantly sip
Upon lifeless leaves autumn has banished
Arises my lovelorn aura's odyssey

"Un ornic cu rostiri funebre, suna amiaza-ndirjit
Iar ceru-mprastia tenebre, peste parcul amortit"

...Returned into that park as a whole
Under the questioning eyes of stars and heavens
Dreaming away on the lost love I've recovered

Death suddenly rises
Annoyed that he couldn't save me
He turns pale from envy

The seasons vanish and so does this story
As the same poets hand raises the pen
He pictured this spectacle with...

The actors fade on the dreary alleys of that elder park
Only two nightshades remaining -
Celebrating the sunset of ages while their sullen laughter
Lustfully haunts the mortal seeds of ruin...

Nights were crystal clear - words were sent from pictures
The colors have seared - these pages, whereas
The darkest hour revealed - the mysterious hand
Which dutifully sealed
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Copyrights:

Author: Vlad Dracul

Composer: ?

Publisher: Agathodaimon

Details:

Released in: 1998

Language: English

Translations: French

Appearing on: Blacken the Angel (1998)

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