La Caution
La Caution - Livre De Vie songtekst
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hitekk : Légèrement misanthrope et misogyne je stipule, Que j'affectionne particulièrement les disputes, J'articule à mort , te discrédite brut avec cette pilule. Imminement sur le point de non-retour je discute, Je vise d'abord minimisant mon vice bru-talisant mon district. calmement je lâche prise p'tite pute. REFRAIN (x 2) : Qui suis-je ? Que fais-je ? Où vais-je ? Que dis-je ? Rédigeant l'indigence d'une existence édifiante. Que puis-je ? Qui suivre ? Que lis-je ? Qui pige ? Maudissant les exigences d'une machine terrifiante. NIKKFURIE : La préface est écrite par un couple, Qui sans le savoir pose les premières lignes de ton book. À la page une, tu n'es qu'un fÅ“tus fait d'une cellule, puis une sage femme, ton corps, de l'utérus débusque ! Page 42, tu pleures à un arrêt de bus vétuste : les tiens ne sont pas Crésus, l'argent précieux n'fait pas d'bévues… Mais revenons à la page 4, tu es face à de curieux rébus. Et chez les crépus, il est prévu de prélever ton prépuce. Ce livre semble long et contient de longs blancs, Aucune page n'indique cette soit disante visite du Mont Blanc ! Ce livre ne se lit qu'une fois et dans un seul sens, Le libre-arbitre définissant le contenu de la page suivante… hitekk : je reste large en brassant de l'argent sale, en parlant de garces et de macs dans l'crade, en gardant cet accent gras, bien sanglant qui te castre naze. techniquement je t'éradique, je contrôle ton rythme cardio-vasculaire, je fais qu'il augmente à travers les ondes ionisantes de ton transistor. ton sang circule , tu transpires grave, ça m'gave quand j'capte que j'alimente l'imaginaire de ce tas d'ignares. je vise ma cible et casse l'image… REFRAIN (x 2) : Qui suis-je ? Que fais-je ? Où vais-je ? Que dis-je ? Rédigeant l'indigence d'une existence édifiante. Que puis-je ? Qui suivre ? Que lis-je ? Qui pige ? Maudissant les exigences d'une machine terrifiante. hitekk : abrupte est la pente mais je la monte à la verticale noctambule ! conducteur de taxi psychédélique, par le rétro vise les débris parlant bien de célibat. parenthèse, tu n'es qu'une épave errante parlant d'air, l'argent te baise en phase terminale. flipper ! qui tilt et résiste, je sais qu't'as l'air minable ! alors ! la vie te déprime, va à la gay pride avec des drag-queens, ça te brise les cervicales…