Julos Beaucarne
Julos Beaucarne - Sympathies errantes songtekst
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D’on ne sait quel azur parties Avec des haleines de mai De fraternelles sympathies Voyagent dans l’air parfumé Les rêveurs et les jeunes femmes Sentent parfois en ces beaux jours Aux marches blanches de leurs âmes Monter d’invisibles amours D’on ne sait quel regard venues Entre des rires et des pleurs Ce sont des lèvres inconnues S’ouvrant à leurs lèvres en fleurs Et le charme en est si vivace Si doux que leur front rajeuni De cette caresse qui passe Garde des rêves infinis