Jofroi
Jofroi - Tango songtekst
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on parle si souvent des boeufs des beaufs, des sanguins colériques des nemrods à tête de noeud faudrait quand même rendre justice à ces femelles pathétiques qui valent bien leur poids de saucisse en d’autres temps dames patronnesses elles s’adonnent à la gymnastique au karaté ou au fitness elles qui sont pour la tradition la daube et le chant lithurgique s’offrent un p’tit coup d’libération elles aiment jouer... les colonelles montrer les dents, cabrer les reins et leurs maris caractériels rêvant tout bas d’être comme elles rongent leur frein il faut dire qu’elles se débattent qu’ell’mordent qu’ell’griff’nt, qu’elles piquent qu’elles en donnent des coups de patte prêtes à monter sur le podium tenir des propos hystériques et balancer leurs géraniums à se demander si elles tirent elles-même sur l’élastique quand elles nous jouent les martyrs on ne sait pas bien si elles sont vraiment faites pour la politique ou soignent des problèmes de fond elles aiment jouer... les passionnelles taper du pied, lever le poing et leurs maris battant de l’aile rêvant tout bas d’jurer comme elles sortent le chien ca peut paraitre mysogine ce n’est qu’une chanson comique vous aviez d’viné j’imagine moi, le modèle que j’ai choisi c’est cette gourde mégretique qui promène son rat dans charlie y en a d’autres que rien n’arrête et c’est pas les moins dramatiques les cendrine les margaret je vous préviens pas, ça prévient pas on s’étonn’rait d’une angélique on s’attend pas à monica elles aiment jouer... les sensuelles cracher le miel puis le venin et leurs amants polichinelles rêvant tout bas d’chiquer comme elles mangent leur chien car faut s’méfier des impressions sous les poudres et les cosmétiques y’a pas que des vieux canassons y’en a parfois qui vous labourent d’un de ces sourires érotiques qui mêle jument et amour mon rat... mon loup... viens là ! et c’est l’danger comprenez bien de se retrouver frénétique à prom’ner madame et son chien. mais j’voudrais dire en post-scriptum et j’arrête là ma critique c’est loin d’être mieux chez les hommes !