Hugues Aufray
Hugues Aufray - La Sévillane songtekst
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LA SÉVILLANE Paroles: Hugues Aufray, musique: Jean-Pierre Sabar Comme papillon fragile Nos amours se meurent dans la nuit Nos amour se meurent dans la nuit Comme papillon fragile Nos amours se meurent dans la nuit Comme papillon fragile Car nos coeurs ne sont que d'argile. Nos coeurs ne sont que d'argile Comme la vie est cruelle L'hirondelle brisant son aile Comme la vie est cruelle On ne peut plus rien, rien, pour elle. Ne me garde pas rancune D'avoir tant brisé ton coeur Ne me garde pas rancune Contre mauvaise fortune Il faut ouvrir grand ton coeur. Aïe, aïe, aïe Mon père a aimé ma mère De leur union, moi je suis né De leur union, moi je suis né Mon père a aimé ma mère De leur union moi je suis né Mon père a aimé ma mère Mais la vie les a séparés. Mais la vie les a séparés Chacun pour soi, son pays Sont-ils encore des ennemis? Chacun pour soi, son pays Ou s'aiment-ils en paradis? Aie, la peine que je traîne De n'avoir pas su donner Aïe, la peine que je traîne De n'avoir su pour étrennes Qu'offrir tant de fleurs fanées! Aïe, aïe, aïe Les enfants vienne et nous quitte Le bonheur n'est pas indulgent Le bonheur n'est pas indulgent Les enfant vienne et nous quitte Le bonheur n'est pas indulgent Les enfants vienne et nous quitte Nous ne sommes que des passants Nous ne sommes que des passants Sans fortune, les homme sont nus Pauvres anges d'un ciel déchu Sans fortune les homme sont nus Rêvant d'un paradis perdu. Souviens-toi sans amertume Quand le destin te meurtrit Souviens-toi sans amertume Que ta seule et vraie fortune C'est le trésor de ta vie.