(Jean-Loup Dabadie/Paul De Senneville/Olivier Toussaint)

Les jours de pluie, les jours où la vie
N'est plus qu'une triste mélodie
Les soirs d'absence, les soirs de malchance
Je sors dans la ville et puis je danse.

Je danse quand j'ai de la peine, je danse les jours de déveine.
Je danse quand je n'ai personne, je danse quand tu m'abandonnes.
Comme un bateau en détresse, je danse les soirs de tristesse.
Je danse jusqu'à la folie, je danse, je danse et j'oublie.

Les soirs d'hiver, les soirs de travers
Les soirs où j'ai le cœur à l'envers
Les nuits sans lune, les nuits d'infortune
Je danse pour oublier le silence.

Je danse quand j'ai de la peine, je danse les jours de déveine.
Je danse quand je n'ai personne, je danse quand tu m'abandonnes.
Comme un bateau en détresse, je danse les soirs de tristesse.
Je danse jusqu'à la folie, je danse, je danse et j'oublie.

Mais un jour viendra où tu reviendras !
Fini cette vie, fini la pluie !
Tu entreras et tu me parleras
Et puis dans mes bras, tu tourneras !

Tu danses au cœur de ma peine, tu danses, oh ! Toi si lointaine.
C'est toi, la danse est la même, tu danses, tu danses et je t'aime.
Je danse, je danse et je t'aime, je danse et j'ai tant de peine.
Je danse quand je n'ai personne, je danse quand tu m'abandonnes.
Comme un bateau en détresse, je danse les soirs de tristesse.
Je danse jusqu'à la folie, je danse, je danse et j'oublie.