It's not my fault that you lost your way,
Your insanity will prevail.
It's not my fault that you lost your way,
Your insanity will prevail.
It's not my fault that you lost your way...

Nous ?tions tous en voyage, quand un brouillard s'approche,
C'est la for?t des regrets amers, des doutes sans r?missions,
? gauche, une vielle femme me dit:
- Ne faites jamais ce que je fis.
- Qu'est-ce que vous f?tes?
- Je ne fis rien, je ne dis rien de ma vie.

Y a-t-il un meurtre qu'on oublie,
Y a-t-il quelque chose qu'on ne doit,
Finirons-nous dans la for?t des regrets am?res?

Y a-t-il un meurtre qu'on oublie,
Y a-t-il quelque chose qu'on ne doit,
Finirons-nous dans la for?t des regrets am?res?

Nous prenons le sentier vers la droite...

En revenant de la for?t fid?le,
J'ai vu venir un soir de mai.

Nous passons ? cheval devant le castel,
Peut-?tre devrions nous arr?ter,
Mais les moines vont-ils s'insulter?

J'ai repris la route de la rivi?re,
J'ai repris le chemin battant.
Elle m'a dit viens cette rivi?re,
Et j'ai revu tous mes enfants.

Nous ?tions tous en voyage, quand un brouillard s'approche,
C'est la for?t des regrets amers, des doutes sans r?missions.

Your insanity will prevail...

Y a-t-il un meurtre qu'on oublie,
Y a-t-il un meurtre qu'on ne doit,
Finirons-nous dans la for?t des regrets am?res?

J'ai voyag? ? travers tant,
J'ai revu le troisi?me sang,
Et j'ai repris l'?me guerri?re,
Et j'ai repris l'?me du combattant.

Y a-t-il un meurtre qu'on oublie,
Y a-t-il un meurtre qu'on ne doit,
Finirons-nous dans la for?t des regrets am?res?

Y a-t-il un meurtre qu'on oublie,
Y a-t-il un meurtre qu'on ne doit,
Finirons-nous dans la for?t des regrets am?res?

L'un d'entre nous d?cide de rebrousser son chemin,
Il y a quelque part derri?re lui un remord,
finirais-je avec celui-ci quand je serai mort?
Quand je serai mort, quand je serai mort!
Me dirais-je:

En revenant de la for?t fid?le,
j'ai vue venir les oiseaux de mai.
Ils m'ont dit que cette fronti?re,
n'est pas plus loin que le premier soir d'?t?.

Nous ?tions tous en voyage,
quand cette aube s'approche.
Disparaisse les fantomes du soir de mai,
Mais je n'ai rien oubli?.

...
Le vilebrequin de tes erreurs,
Percera-t-il tes certitudes?
Et l'illusion de ce bonheur,
N'est-il seulement que l'habitude?