La maison fleurit jusqu’à l’automne
Ta chambre tout en haut de l’escalier
La main qui venait parfois te guider
Les rêves en couleur qui tu faisais
L’odeur café au lait qui te reveillant le matin
La voix de ta maman qui consolait peins et chagrin
On n’oublie pas le visage de l’amour

Les soldats de plomb en pleine bataille
Et la poupée de cire ou de son
Le premier livre de géographie
Le chemin de l’école puis la mairie
Les parfums de l’été le vent qui soufflait de la mer
Les choses qu’on disait et celles que racontait ton père
On n’oublie jamais les images de l’enfance
On n’oublie pas le visage de l’amour

Puis d’adolescence un peu tardive
Les rêves fous, les rendez-vous manqués
Les larme grosses comme des gouttes de pluie
La peur de rester seul toute la nuit
Et puis un jour d’été se qu’on appelle premiere fois
La sensation si belle de ne plus jamais avoir froid
On n’oublie jamais les images de l’enfance
On n’oublie pas le visage de l’amour

L’amitié, l’amour et la tendresse
Tout doucement savoir les partager
Se faire mal et puis savoir se pardonner
Apprendre, apprendre, apprendre se donner
Et refermer l’album aux souvenirs décolorés
En sechant sans regrets une larme aux coins des yeux
On n’oublie jamais les images de l’enfance
On n’oublie pas le visage de l’amour