luttions, pour elle br?lant d'amour. Elle restait subjugu?e par ma
fougue ?clatante quand fou je pi?tinais la terre s?che et br?lante. La
belle de Cadix tremblait d'un regard doux, excit?e elle savait que
j'?tait pr?t ? tout. Je soufflais plein d'ardeur, songeant en
combattant,
qu'un oeil noir me regarde et que l'amour m'attend!

Pourquoi, pourquoi, quand tu restes embroch?
Pourquoi, pourquoi, tu veux plus faire ol?
Pourquoi, pourquoi, tu restes plant? comme ?a
Pourquoi, pourquoi, quand t'es mort tu ris pas

Souviens-toi, nous riions d'un entrain bienveillant, devant milliers
millions aux gradins agglutin?s... En passes et en esquives nous nous
jouions de la mort, la narguant sous les fleurs ou les sifflets du
public.
Mais maintenant malheur il oscille inconscient, empal? sur mes cornes
son sang va s'?coulant - tandis qu'elle hurle sa haine, rageuse et
effondr?e, criant de part l'ar?ne tu es un meurtrier!
Pourquoi, pourquoi, elle pleure en m'insultant
Moi qui depuis toujours l'aimais en y croyant
Pourquoi, pourquoi, son air large et hautain
Apr?s un coup pr?cis s'est soudainement ?teint