Sur la banlieue tombe un rideau de pluie
Et le ciel bleu n'est plus qu'un souvenir
C'est à peu près l'image de ma vie
Tu me manques trop, tu me manques à mourir.

Comment savoir, comment te retrouver
Où t'appeler, à quelle adresse t'écrire
Tu es partie peut-être à l'étranger
Pour oublier ou bien pour me punir.

Tu me manques trop, tu me manques à mourir
On ne peut plus travailler ni dormir
Quand on est là tout seul à tant souffrir
Tu me manques trop, tu me manques à mourir.

Peut-être enfin tu voudras me revoir
Tu comprendras ce que tu es pour moi
Il ne me reste que ce petit espoir
Sans lui ma vie pourrait s'arrêter là.

Tu me manques trop, tu me manques à mourir
On ne peut plus travailler, ni dormir
Quand on est là tout seul à tant souffrir
Tu me manques trop, tu me manques à mourir

Tu me manques trop, tu me manques à mourir
Quand je suis seul, tout seul à tant souffrir
Je deviens fou d'absence et de désir
Tu me manques trop, tu me manques à mourir

Jean Kluger-Nelly Byl/Adapt. Frank Gérald
© JEAN KLUGER SA/NV