Un “éropathe” qu’une gaule ondulait
Rêvait de pagnes, de compagnes au port de haute coupe
Il tapissait de grues carénées
Les mille et univers de son taudis
Il s’appelait Marcello

Quand, soudain, sur la plate-bande
Un ange est passé                                
La mèche était grande
Et d’un sourire hébété

L’enamouré s’empressa de lui dire
“BONJOUR JULIETTE”
Et les passions perdues lui répondirent
“V’LÀ, ROMÉO”

Un autre érodé, un “maître faveur”
Gonflé comme une algue
Emut la diable
En défiant Méphisto
Il l’appelait Rénalto! 

Epris d’un feu buissonnier
Tombant sous le charme
S’engoua illico  OH OH

L’enamouré s’empressa de lui dire
“BONJOUR JULIETTE”
Et les passions perdues lui répondirent
“V’LÀ, ROMÉO”

Whop! C’est beau!
P’tite soeur Nini
P’tite soeur Nono
Faut-il emballer les cadeaux? 
Par ici
Paré haut
Whop! C’est beau!
Que tu m’allonges ou que tu m’aimes
Un tant soit tendre, un tant soit trop

Et l’empaffé s’empressa de lui dire
“BONJOUR JULIETTE”
Et les passions perdues lui répondirent
“V’LÀ, ROMÉO”